Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Les maîtres de Malcéor (2)

    Malgré la volonté je n'ai pas trop avancé sur ce projet ce week-end. Je poste un autre extrait. N'hésitez pas à me dire ce vous en pensez. 

     

    La grille du château grinça mais elle n’était pas fermée. Sans le quitter d’une semelle Julien suivit son père dans l’allée. Etrangement, celle-ci était bien ratissée et il n’y avait pas d’herbes folles. Contrairement à ce que disait son père, la légende était donc vraie. Et malheureusement, leur raison d’être là, n’était pas due aux élucubrations d’un gars en costume qu’il fallait simplement rassurer comme le pensait son père. Sous sa poussée, la porte d’entrée n’émit pas non plus de résistance.

          « Tu as bien ton sac-à-dos avec toi ?

    -          Oui gémit Julien.

    -          Alors tu prends l’escalier et tu en mets une dans chaque pièce. Compris ? 

    -          Toi tu restes en bas ?

    -          Une dans chaque pièce. N’oublie pas ! »

    Hypnotisé par l’escalier en colimaçon qui prenait naissance dans l’entrée, Julien eut l’impression que la voix de son père venait d’outre-tombe. Il lança sur sa gauche un regard vers lui mais sa silhouette s’était déjà évanouie dans l’enfilade des salons. Après tout, Julien  ne risquait rien avec tout ce stock qu’il trimballait sur le dos. Il se lança et essaya de penser à des choses positives. « C’est bientôt mon anniversaire. Une gousse d’ail dans chaque pièce ce n’est quand même pas compliqué. Je demanderai un chien. Et puis il ne doit pas y en avoir tant que ça des pièces. Je l’appellerai… » Arrivé en haut de l’escalier, il ravala sa salive. Non en effet, pas tant que ça. Tout juste… 13. Julien regarda la première porte. L’angoisse commençait à le prendre à la gorge et son cœur battait violement. A la limite de l’implosion il réussit néanmoins à se contrôler suffisamment pour défaire son sac à dos et attraper une gousse d’ail. De l’autre main, il appuya sur la poignée et entrouvrit la porte.

  • Les maîtres de Malcéor.

    Actuellement je travaille sur un projet qui est de l'odre du marathon pour moi. Je frise les 35 000 signes et espère atteindre les 45 000 ! Un vrai petit roman ! Je souhaite faire les premiers envois d'ici deux semaines... mais que la dernière ligne droite paraît longue... Et puis il reste encore les relectures...

    L'histoire ? La vie de vampire vous semble être un long fleuve de sang tranquille ? Entre nuits noires et victimes apeurées. Vous avez tout faux !

    Le début pour le week-end :

           Le regard humide de Julien était tourné vers l’écrasante silhouette du château. La trouille au ventre, il baissa la tête et la replaça derrière le dos de son père, à l’abri du vent. Mais le vélomoteur qui les transportait tous les deux là haut décida qu’il n’irait pas plus loin. Les ondes négatives qui se dégageaient de l’énorme bâtisse venaient d’avoir raison de sa volonté. « Tu vas redémarrer sacré non de non ! C’est pas le moment de nous lâcher ! » Les coups de clef du père de Julien dans le démarreur n’avaient aucun effet. L’homme et l’enfant n’avaient d’autre choix que de continuer le chemin à pieds. De son piton rocheux, le château de Malcéor surmontait la vallée et son village depuis des siècles. Mais de mémoire d’homme, personne jusque là ne s’y était aventuré. Julien et son père levèrent la tête, ils étaient arrivés à ses pieds. « On est pas obligé. » murmura Julien. « T’inquiète pas le plus dur est fait. Ça fait une sacrée côte. Hein ? » Julien se dit que ça pouvait aussi faire une sacrée descente. Et pourquoi ne pas la prendre maintenant ? Il y avait d’autres moyens de gagner de l’argent. Mais à quoi bon ? Puisque son père était de toute façon abonné aux plans foireux. Alors celui ou un autre…

  • 1, 2, 3 printemps !

    Et non ! Ce n'est pas encore le cas ! Il s'agit simplement d'un texte sur le sujet dont voici le début : 

    Ce matin, il fait beau, la maman d’Hugo a ouvert grand les fenêtres.
    Mais quelque chose étonne le petit garçon : « Oh ! Qui c’est qui a mis ça aux arbres ? » dit-il en regardant dehors les gros marronniers du jardin public.
    Sa maman a compris que son garçonnet parle des feuilles. Elle est amusée :
    - C’est la douceur du printemps qui les a fait éclore dans la nuit, mon petit chéri, répond-elle.
    - Mais alors si le printemps ne venait pas il n’y aurait pas de feuilles aux arbres ?
    - Oui et pas d’hirondelles dans le ciel, dit mamie Clafouti qui arrive à vélo suivit de papi Gâteau.
    Hugo et sa maman les rejoignent aussitôt.

    Si vous voulez connaître la suite contactez moi... !

  • Premier jour, premier projet...

    N'hésitez pas à me contacter !

  • Invitations !

    Je rajouterai bientôt une rubrique projets. Ils seront en recherche d'éditeurs mais aussi d'illustrateurs. Venez nombreux y faire un tour !